Déclaration commune sur le chantier Bac/lycée au CSE du 19 octobre 2017

Signataires : A&I UNSA, CRAP Cahiers pédagogiques, Education et Devenir, FAGE, FCPE, FEP-CFDT, SE-UNSA, SGEN CFDT, SGL, SIEN-UNSA, UNEF, UNL, UNSA EDUCATION.

Monsieur le Ministre,

Le premier ministre a annoncé en juillet qu’une « concertation » serait lancée sur le baccalauréat à la rentrée de septembre. Celle-ci doit aboutir « avant septembre 2018, pour une mise en œuvre complète de cette réforme pour le bac 2021 ».  Le projet serait de « resserrer les épreuves finales autour d’un plus petit nombre de matières et de définir ce qui relève du contrôle continu ».  » Vous-même avez déclaré vouloir « remuscler ce baccalauréat pour lui donner plus de sens et pour le rendre plus utile » et faire évoluer « les programmes du lycée, pour être cohérents avec la réforme du baccalauréat. »

Nos organisations se réjouissent de l’ouverture du chantier « baccalauréat et lycée », même si elles regrettent que vous y entriez par la porte la plus étroite, celle du nombre d’épreuves terminales du baccalauréat, de son organisation et surtout sans questionner les voies et les séries qui sont socialement ségrégatives. Elles auront des propositions constructives à faire pour que le lycée évolue de manière à permettre à tous les jeunes de gagner en autonomie et d’élaborer progressivement leur projet de formation et d’insertion professionnelle, sans oublier que le lycée doit participer à la formation citoyenne et à l’émancipation des jeunes.

Elles demandent que ce chantier :

1)     Inclue les trois actuelles voies du lycée, voies générale, technologique et professionnelle, pour tendre vers un lycée sans filière favorisant les mixités ;

2)     S’inscrive dans la logique bac-3/bac+3 : ce travail doit associer le MESRI, contrairement au chantier sur les attendus à l’entrée dans le supérieur qui ne fait pas toute sa place au bac-3 ;

3)     Concrétise la notion de parcours structuré en modules communs pour certains, choisis pour d’autres. Cela nécessite de développer l’accompagnement pour que chaque jeune puisse élaborer un parcours cohérent et porteur de réussite, validé par un baccalauréat, diplôme national, donnant accès à l’enseignement supérieur et éventuellement à une insertion professionnelle directe selon les modules choisis par le jeune.

4)     Travaille sur l’accompagnement du lycéen dans la construction de son parcours Avenir et de son parcours Citoyen, ce qui nécessite un volume horaire spécifique et des moyens humains identifiés et suffisants ;

5)     Permette de repenser le temps dans l’établissement, selon les besoins des jeunes et des personnels pour faire du lycée un véritable lieu de vie et « désintensifier » le travail

6)     Fasse l’objet d’une véritable concertation avec une méthode et un calendrier négocié.

Nous demandons enfin que la démarche fasse une large place à l’implication de tous les acteurs de la communauté éducative. L’accompagnement et le développement professionnel continu seront indispensables pour mener à bien les évolutions nécessaires.

 

Vous trouverez ici la Déclaration commune sur le Diplôme National du Brevet au même Conseil Supérieur de l’Education du 19 octobre 2017

Déclaration commune CSE_Diplôme National du Brevet_ 19_10_2017

Conseil Supérieur de l’Education du 19 octobre 2017 : Déclaration liminaire de la FCPE

Monsieur le Ministre, Mr le Président,

Mesdames, Messieurs les membres du CSE,

La rentrée scolaire est maintenant derrière nous et les problèmes que nous avions vu poindre en septembre se sont révélés. Des mesures sont décidées et appliquées dans l’urgence, sans évaluation et sans dialogue ni au CSE ni avec le terrain. La suppression de nombreux contrats aidés en est un parfait exemple et touche durablement l’école. La FCPE a toujours dénoncé ces contrats précaires et milite pour que ces personnels, indispensables à la vie de l’école, soient pérennisés. Le gouvernement a fait le choix de l’économie à court terme, et cela se paye tous les jours dans les établissements. Ici l’administratif qui s’entasse, là une cantine scolaire qui ne fonctionne plus faute de surveillance. Voilà la réalité de la suppression de ces contrats.

Le passage aux 4 jours dans certaines communes, dans la précipitation et sans concertation, est là aussi l’exemple de changements à marche forcée sans qu’aucune étude d’impact n’ait d’ailleurs été menée. Au contraire, les études qui existent déjà montrent qu’adapter le temps scolaire aux besoins des élèves est favorable aux apprentissages. Ils sont nombreux à être privés d’une matinée de classe alors que c’est le meilleur moment pour apprendre. Si la FCPE demande à ce que les 5 matinées soient sanctuarisées, c’est parce que c’est bon pour les enfants, quel que soit le territoire. Donner la liberté aux communes sur ce point, c’est faire le choix de sacrifier l’intérêt des enfants et considérer que leurs besoins ne sont pas prioritaires.

Déjà en fin d’année dernière, nous dénoncions les pressions exercées sur les conseils d’écoles. Et que constatons-nous cette année ? La même chose ! Les élections de parents d’élèves sont à peine terminées et des convocations ne respectant pas le délai légal arrivent déjà, avec comme seul  ordre du jour un débat sur la semaine de 4 jours ou de 4,5 jours. D’autres conseils d’école sont convoqués avant même le lancement des consultations des mairies sur les rythmes scolaires, certes non obligatoires mais pour autant participatives. Comment faire vivre la démocratie scolaire quand les instances de consultations sont instrumentalisées ? La FCPE ne laissera pas faire ce genre de pratique et attend du ministère de l’Éducation nationale qu’un rappel soit fait des textes en vigueur.

Enfin, la question des rythmes ne se limite pas à  l’organisation de la semaine, mais inclut l’organisation de l’année scolaire. Le travail sur le calendrier scolaire est pour l’instant à l’arrêt, malgré les annonces faites en fin d’année lors du vote du calendrier scolaire 2018/2019. Pourtant, c’est l’enjeu de demain, qu’il faut préparer aujourd’hui : nous demandons au ministère que ce chantier soit ouvert dès à présent.

Aujourd’hui, nous allons discuter d’un texte qui illustre, de nouveau, le manque de concertation du ministère : celui du brevet des collèges. Pour la FCPE, c’est le retour à un examen sanction qui va renvoyer les élèves seuls face à leur échec. D’autant que rien n’est fait au lycée pour que les élèves qui ne maîtrisent pas le socle puissent poursuivre son acquisition pourtant présentée comme indispensable. Bien évidemment il ne s’agit pas de donner le brevet sans exigence mais de se donner les moyens d’aller au bout de la logique du socle commun plutôt que d’y renoncer. Garantir à chaque jeune à l’issue de sa scolarité obligatoire l’acquisition d’un bagage suffisant pour réussir sa poursuite d’étude, sa future vie professionnelle et de citoyen est un des objectifs de la loi de refondation de l’école, sur lequel vous revenez Monsieur le ministre.

Et que dire de la consultation sur l’enseignement supérieur où l’exécutif n’a comme ambition que de réduire la liberté d’accès à l’enseignement supérieur ? Aucun projet alternatif n’a pu être débattu alors qu’il faudrait s’attaquer à l’orientation et mettre les élèves au cœur du système, sans oublier d’augmenter les moyens. Nous avons une jeunesse de plus en plus nombreuse et désireuse de se former. C’est une chance et il nous faut la saisir plutôt que de renforcer l’organisation rigide de notre système éducatif où le destin scolaire est scellé très tôt. Comment imaginer que des élèves que l’on a mis sans qu’ils en soient d’accord dans des filières au lycée, puis dans l’enseignement supérieur, puissent mieux réussir ?  L’orientation subie est une cause d’échec qui sera renforcée avec le projet des pré-requis à l’entrée de l’université. Nous voulons au contraire ouvrir les perspectives de tous les élèves et leur donner les moyens de réussir. Une réforme du lycée ambitieuse est nécessaire pour cela.

Merci pour votre écoute.

Conseils d’école : les convocations irrégulières, ça suffit !

Communiqué de Presse de la FCPE nationale, du 18 octobre 2017

Les élections scolaires sont à peine terminées, les parents tout juste élus dans leur prise de mandat que déjà fleurissent, sur tout le territoire, des convocations qui ne respectent pas le délai légal pour une organisation dans les règles des conseils d’école…. Et comme par hasard, un ordre du jour qui mentionne un débat sur la semaine de 4 jours ou de 4,5 jours.

D’autres conseils d’école – extraordinaires – sont convoqués avant même le lancement des consultations des mairies sur les
rythmes scolaires, certes non obligatoires mais pour autant participatifs…

La FCPE ne laissera pas passer l’instrumentalisation de cette instance dans laquelle les parents d’élèves ont voix au chapitre. Déjà, dans certains départements, les parents d’élèves FCPE ont tapé du poing sur la table, textes à l’appui. Des actions qui ont permis le report de ces conseils d’école après les vacances.
Pour tout conseil école, extraordinaire ou non, une convocation avec ordre du jour doit être envoyée huit jours au moins avant la date de tenue de la séance. Le conseil d’école se réunit une fois par trimestre, et obligatoirement dans les 15 jours suivant les élections, déduction faite des jours de congés scolaires.

Aujourd’hui, au vu des délais impartis, il est difficile de respecter les délais de 8 jours de convocation avant les vacances d’automne, les élections ayant eu lieu la semaine passée.

La FCPE attend du ministère de l’Éducation nationale un rappel des textes en vigueur. Respecter les parents d’élèves est la première des conditions pour bâtir une école de la confiance. A moins que derrière le slogan ne se cache qu’une coquille vide ?

Les lycées du 93 ont besoin de moyens !!

Les lycées de Seine-Saint-Denis débordent ; les personnels non enseignants et les professeurs ne sont pas en nombre suffisant _ et la suppression annoncée des contrats aidés (surveillants, agents d’entretien, aides administratives…) ne fait que renforcer la pénurie ; les bâtiments sont trop souvent vétustes ou inadaptés…

Grèves des enseignants, blocages des lycéens, interpellations des pouvoirs publics par les parents : la mobilisation s’amplifie dans tout le département.

Vous trouverez ici la Lettre Ouverte Intersyndicale Lycées 93 à Mme Pécresse 28 sept 2017

 

A Montreuil, au lycée Jean Jaures, les représentants syndicaux SNES-SNEP-FSU ont présenté la motion suivante, adoptée en CA du 26 septembre 2017 : 

Des classes de 1èreSTMG et 1ère ES très chargées sans qu’aucun moyen supplémentaire n’ait été donné pour répondre aux difficultés d’élèves pour beaucoup fragiles, précipités en première par le décret n°2014-1337 qui a rendu le redoublement exceptionnel , des lycéens de Montreuil affectés dans des communes très éloignées faute de place , des enseignants non remplacés depuis la rentrée (ex en allemand et histoire-géographie) : près de 3 semaines après la rentrée le bilan n’est guère positif.

Aussi , le conseil d’administration du lycée Jean Jaurès dénonce cette situation. Elle est liée au manque d’anticipation des services de l’État et de la Région face aux conséquences de la poussée démographique que connaît notre département et particulièrement la commune de Montreuil.

Il demande que les élèves de Montreuil non affectés dans les lycées de la commune soient affectés au plus proche de leur domicile, qu’une classe de première ES et une classe de 1ère STMG nécessaires soient créées dans le secteur. Enfin, pour répondre aux besoins immédiats des élèves, nous demandons à nouveau les moyens dont certains ont été réclamés lors de notre dernière audience au Rectorat en avril dernier.

Oppera joue dimanche 26 novembre à la mairie

Concert Salle des Fêtes de l’Hôtel-de-Ville

Dimanche 26 novembre à 16h

Au programme : « Pierre et le Loup » (S. Prokofiev) et musiques de dessins animés

Oppera cherche toujours des collégiens, lycéens et parents d’élèves musiciens : recrutement-oppera

Créé en juin 2012, l’Orchestre des Personnels des Parents et des Elèves Réunis en Association (OPPERA) réunit actuellement 50 musicien.n.e.s, sous la direction musicale de Mathieu Braud. Il accueille sans cesse de nouveaux instrumentistes, désireux de jouer en ensemble symphonique (répétition le jeudi de 19h30 à 21h30).

Depuis sa création, l’OPPERA c’est :

  • 6000 personnes (élèves, parents d’élèves, résidents des foyers, habitants des quartiers).
  • 50 concerts notamment à Montreuil dans des établissements scolaires, dans les quartiers, pour des associations et des municipalités,
  • 30 œuvres jouées,
  • Participation à la Voie est Libre, édition 2015 (Montreuil) et au Festival « Ta Parole », édition 2016 (Montreuil),
  • Concert d’ouverture du Théâtre de la Girandole lors de la transhumance vers le Théâtre de Verdure (mai 2017),
  • Des solistes invités,
  • Des créations et des collaborations,

Subventionné par la Mairie de Montreuil et suivi par la DAAC de l’Académie de Créteil, l’orchestre est en résidence à la Cité Scolaire de Jean Jaurès à Montreuil, où il se réunit et effectue ses répétitions

Prochaine date :

 

Dimanche 26 novembre : Concert à la salle des fêtes de la mairie de Montreuil sur un Programme : Pierre et le Loup de Prokofiev et Medley de musique de dessin animé (16h)

https://opperaorchestresymphonique.wordpress.com/

 

Pour la scolarisation des enfants migrants : lettre ouverte au Ministre de l’Education nationale

La FCPE a coécrit une lettre ouverte au Ministre :

Les Lilas, le 2 octobre 2017

Monsieur le ministre,
La loi française affirme le droit à la scolarisation pour tous, droit réaffirmé dans le cadre de
l’école inclusive. Pourtant, de trop nombreux enfants et adolescents n’ont pas pu faire leur
rentrée scolaire.
Parfois, c’est parce qu’un maire a refusé de les inscrire à l’école sous un prétexte
administratif ou parce qu’un mineur isolé n’a pu bénéficier des aides pour le guider dans les démarches nécessaires à l’inscription au collège ou au lycée.
Parfois c’est parce que, victime d’une expulsion ou de la précarité des hébergements en
hôtel social, l’enfant ou l’adolescent a été éloigné de l’école où il avait été scolarisé.
Parfois c’est parce qu’il faut attendre plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous
d’évaluation au CIO ou au CASNAV et qu’une fois cette évaluation faite, il faudra encore
attendre pour obtenir une place en collège ou lycée ou rendre possible une formation
professionnelle ou une poursuite d’étude.

La loi ne fait aucune exception au droit à l’école y compris au-delà de 16 ans et les textes
réglementaires rappellent qu’aucune distinction ne peut être faite quant à ce droit entre les enfants de nationalité française et les enfants de nationalité étrangère.
C’est pourquoi les organisations syndicales et les associations soussignées appellent
le ministre de l’Éducation nationale à agir pour que ce droit soit effectif pour tous les enfants et les adolescents et que les moyens nécessaires pour réussir cette scolarité y soient consacrés.

FSU, FERC-CGT, UNSA Éducation, SUD Éducation, SGEN-CFDT,
RESF, CDERE, Solidarité laïque, LDH, FCPE

2017-10-02 Lettre ouverte scolarisation migrants

En finir avec la violation des droits des Jeunes Isolés Etrangers

Nous relayons l’appel lancé en juillet 2017 par la FCPE nationale et 17 autres signataires, ainsi que l’appel à contribution/témoignage, afin d’alimenter la campagne de mobilisation collective pour protéger ces jeunes :

Appel commun lancé le 20/07/2017  :

Tous les jours en France, des centaines d’enfants, de jeunes étrangers sont laissés à l’abandon, exclus de la protection qui leur est due, une charge qui incombe aux départements. Ceux-ci se partagent avec la police, les parquets et les tribunaux  le soin de faire le« tri » entre les jeunes qui seront reconnus mineurs et les autres, déclarés majeurs après un entretien suspicieux, un document jugé douteux ou les conclusions aléatoires d’une expertise osseuse.  Pour les «heureux » élus, trop souvent ne s’ensuit qu’un service minimum d’encadrement sans que les bilans obligatoires ne soient réalisés sur leur situation, leurs besoins en santé, en éducation.

Malgré l’encadrement prévu par la protection de l’enfance et ses dispositions réglementaires, les pratiques de trop de services de l’Aide sociale à l’enfance ou des associations chargées de ces jeunes conduisent à de véritables maltraitances : «parcage» des mineurs isolés dans les hôtels ou hébergements inadaptés à l’accueil d’enfants et de jeunes, non-scolarisation. Quant aux exclus de la prise en charge, ils sont condamnés à l’errance, harcelés et contraints de décamper de leurs abris de fortune lorsqu’ils ne sont pas victimes de violences policières.
Heureusement, bien plus souvent qu’on ne l’imagine, des mobilisations courageuses se développent portées par les jeunes et leurs soutiens. Elles obtiennent parfois gain de cause, sauvant, trop rarement, quelques jeunes de leur misère pour une durée incertaine.
Il y a urgence à ce que les responsables politiques ouvrent les yeux ! Assez d’hypocrisie !
Il ne suffit pas de se réclamer des conventions internationales sur les droits humains, il faut les respecter !

Nous, associations, organisations, syndicats, collectifs, engageons dès septembre dans une campagne nationale d’alerte, de mobilisation et de dénonciation :
►  en mutualisant les informations et témoignages, dans la perspective d’établir un état des lieux
► en multipliant les initiatives locales et/ou régionales, concertées ou pas, médiatisées  pour  dénoncer les politiques menées
► en débouchant sur une initiative commune, pour relayer publiquement au niveau national cette alerte, partager les expériences.

Premiers signataires

  – FASTI (Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s)
– Ferc-CGT (Fédération de l’Éducation, de la Recherche et de la Culture –CGT)
– SNUTER-FSU (Syndicat National Unitaire de la territoriale–Fédération Syndicale Unitaire)
– RESF (Réseau d’Education Sans Frontières)
– MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples)
– FSU Nationale (Fédération Syndicale Unitaire Nationale)
– FCPE (Fédération des Conseils de Parents d’Elèves)
– EPP (Enseignants Pour la Paix)
– GISTI (Groupement d’Information et de Soutien des Immigrés)
– DEI -FRANCE  (Défense des Enfants International –France)
– SNPES-PJJ/FSU (Syndicat National des Personnels de l’Education et du Social   PJJ/Fédération Syndicale Unitaire)
– CPMJIE (Collectif  Parisien pour les Mineurs et Jeunes Isolés Etrangers)
– LDH (Ligue des Droits de l’Homme)
– La CIMADE
– Fédération Nationale Sud Santé Sociaux
– Sud Education Guyane
– Syndicats de la magistrature
– Médecins du monde

Audition parlementaire sur ce sujet

La FCPE a été auditionnée le mercredi 4 octobre dans le cadre du Projet de Loi de Finances (PLF) sur la scolarisation des enfants allophones. Nous vous ferons parvenir la contribution écrite que nous souhaitons leur adresser d’ici une dizaine de jours.

La campagne « Justice pour les Jeunes Isolé.e.s Etranger.ère.s », « Justice JIE »

Pour mémoire, la FCPE s’est associée avec plusieurs organisations pour une vaste campagne qui a débuté dès la rentrée 2017 autour des jeunes isolés étrangers. Il est vital d’agir dans leur intérêt et la défense des droits humains fondamentaux
La FCPE participe ainsi au comité informel de campagne.

Le blog est dorénavant en ligne https://blogs.mediapart.fr/mie-justice-jeunes-isoles-etrangers/blog/210917/justice-pour-les-jeunes-isolees-etrangereres

Il est essentiel maintenant de l’alimenter par des contributions sur les actions menées dans les territoires, des témoignages etc… Nous vous remercions d’envoyer vos contributions à Ju.JIEs@outlook.fr et/ou pdurand@fcpe.asso.fr, afin que nous puissions animer et relayer notre participation à la campagne.

Les objectifs poursuivis de cette campagne sont de :

– Recueillir des témoignages, (citoyens, professionnels …) sur tous supports (écrits, vidéos, audio, photos..)
– Rédiger un état des lieux de l’accueil réservé aux jeunes étrangers qui viennent demander la protection de la France, en territoire métropolitain et en outre-mer.
– Créer un blog rassemblant informations et documents. L’anonymat des personnes le souhaitant sera garanti.
– Multiplier les initiatives locales et/ou régionales, concertées ou pas, pour renforcer leur impact

Les DDEN dans les écoles primaires

Les délégués départementaux de l’Éducation nationale jouent un rôle essentiel dans les écoles maternelles et élémentaires.

Ce sont des auxiliaires bénévoles de l’administration de l’Education, qui défendent l’école publique et de son enseignement des valeurs républicaines basées sur la laïcité et la citoyenneté. 

Ils siègent en conseil d’école, réalisent des visites des écoles pour s’assurer du bien-être des enfants et de l’équipe enseignante (entretien, sécurité, restauration scolaire, santé, transports…). portent et/ou soutiennent des propositions et/ou des modifications de l’organisation scolaire telles que l’ouverture/fermeture de classe, les cycles scolaires, la carte scolaire, les rythmes scolaires, etc.

Leur Fédération organise chaque année le Concours des Ecoles Fleuries, destiné à valoriser les activités de fleurissement, de jardinage et d’aménagement de coin nature dans un travail d’équipe entre élèves et enseignants.

Plus de détails ici

Séance de Ciné-Ma Différence samedi 21 octobre à 14h30

Zombillénium

de : Arthur de Pins, Alexis Ducord

affiche_Zombillénium

synopsis : Dans le parc d’attractions d’épouvante Zombillénium, les monstres ont le blues. Non seulement, zombies, vampires, loups garous et autres démons sont de vrais monstres dont l’âme appartient au Diable, mais en plus ils sont fatigués de leur job

Cinéma Le Mélies

12 place Jean Jaurès – 93100 Montreuil

Salles (1,2,3) accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Tarif : ceux du cinéma Le Méliès, dont le tarif réduit à 4€ pour les personnes en situation de handicap + une place gratuite pour un accompagnateur